Ce que j’ai aimé dans les 2 premiers épisodes de la série The Pitt.
- Replonger dans l’atmosphère d’un service d’urgences comme c’était le cas dans la série ER (1994).
- Retrouver Noah Wyle, qu’on connait pour le rôle du Dr Carter qui arrivait en tant qu’interne, cette fois-ci en tant que responsable de service.
- Suivre une garde d’1h par épisode en quasi temps réél (à la 24H chrono).
- Le rythme effréné et les rebondissements constants.
- Découvrir les personnages principaux et introduire subtilement (ou non) des caractères, des failles, …
- La crudité malaisante de certaines blessures/interventions et les effets spéciaux/maquillage surprenant de réalisme.
- Les histoires des patients et de leurs familles : variés, intenses.
- Les parallèles avec des situations qui auraient pu exister dans Urgences et le fait d’aborder de nouveaux sujets très modernes :
- Fin de vie.
- Santé mentale.
- Drogue.
- Assurance maladie.
- Beaucoup de gens ont un smartphone greffés à la main.
- Les autres “corps” de métier du service :
- Infirmières
- Policier
- Agent de sécurité
- Assistante sociale
- Balayeur
- Les seconds plans, aussi réfléchis et soignés que l’action principale.
- Le souci du détail dans le décor et les cas :
- L’écran de télé avec les personnes de garde.
- L’étiquette “Visitor”.
- Le sous-texte : Qu’est-ce que ce qu’on rencontre dans des urgences peut révèler d’une société.